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il ne faut pas qu'elle soit en contact avec les hommes

les femmes peuvent travailler a la maison par exemple coudre, assistante maternelle tout en éduquant ses enfants

c'est mon point de vue
tape
assalam aleykoum
il est difficile au jourd'hui que la femme ne travail pas ,nous savons que la femme doit reste chez elle.il ya des savants, qu'ils disent elle peut travailler en suivant les règles de la réligion ex(dans les hôpitaux, les orphelinas).
sahih-hasan-daif
A salamou Alaykoum Wa Rahmatoullah Wa Barakatouh A vous Que la Paix d`Allah Le ‎Tout Miséricordieux le tres Miséricordieux vous suive Amine ‎

Louanges à Allah swt que nous glorifions, dont nous implorons aide et pardon, et nous ‎cherchons refuge auprès de Lui contre le mal qui est en nous et de nos mauvaise actions. ‎Celui qu'Allah guide nul ne peut l'égarer, et celui qu'Allah égare nul ne peut le guider. ‎J'atteste qu'il n'y a de divinité qu'Allah, Le Seul, L'Unique sans associé, et j'atteste que ‎Mohammad est le Serviteur et le Messager d'Allah.

La Femme Musulmane :Son Statut dans la Umma [i]

[1]Le statut de la femme musulmane dans l’islam est très noble et élevé et son effet est très grand dans la vie de chaque musulman. En effet la femme musulmane est la première enseignante dans la construction d'une société juste, lorsqu’elle suit la guidée du Livre d'Allah et la Sunna du messager (sallallahu 'alayhi wa sallam). Car l’adhésion au Qur`an et à la Sunna éloigne le musulman – homme ou femme – de l’égarement dans n'importe quelle question. L’égarement dont souffrent les diverses nations ne vient que de leur éloignement du chemin d'Allah - le Parfait, le Très-Haut - et de ce avec quoi Ses prophètes et messagers – que la Paix et les Prières d'Allah soient sur eux tous - sont venus. Le prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) a dit :

« Je vous laisse deux choses, vous ne vous égarerez pas tant que vous vous y accrocherez, le Livre d'Allah et ma Sunna. » [2]

La grande importance du rôle de la femme musulmane - comme femme, sœur, fille et ses droits et devoirs – ont été expliqués dans le noble Qur`an et détaillés dans la Sunna authentique.

Le secret de son importance se trouve dans le fardeau énorme et la responsabilité qui est placée sur elle et les difficultés qu’elle doit endosser - responsabilités et difficultés dont certaines ne peuvent être supportées par un homme. C'est pourquoi fait partie des obligations les plus importantes, de montrer de la gratitude envers la mère, de la bonté et entretenir de bons rapports avec elle. Et à cet égard, on lui donne la préséance sur le père. Allah le Glorifié dit :

« Nous avons commandé à l’homme [la bienfaisance envers] ses père et mère; sa mère l’a porté [subissant pour lui] peine sur peine : son sevrage a lieu à deux ans.” Sois reconnaissant envers Moi ainsi qu’envers tes parents. Vers Moi est la destination. » [Sourate Luqman 31:14]

« Et Nous avons enjoint à l’homme de la bonté envers ses père et mère : sa mère l’a péniblement porté et en a péniblement accouché; et sa gestation et sevrage durant trente mois » [Sourate Ahqaf 41:15]

Un homme est venu au messager d'Allah (sallallahu 'alayhi wa sallam) et a dit : « ô messager d'Allah! Qui parmi les hommes mérite plus que j’entretienne de bons rapports avec lui ? »

Il a répondu : « Ta mère. »

L'homme a demandé, « Qui ensuite ? »

Il a répondu : « Ta mère. »

L'homme a alors demandé, « Qui ensuite ? »

Donc le Prophète a répondu de nouveau : « Ta mère. »

Alors l'homme a demandé, « Qui ensuite? »

Donc il a répondu : « Ton père. » [3]

Donc cela nécessite que l'on donne à la mère trois fois la bonté et le bon traitement que l’on donne au père.

En ce qui concerne l’épouse, son statut et son effet sur l’apaisement de l'âme et sa sérénité ont été clairement montrés dans le noble verset, dans Sa Parole :

« Et parmi Ses signes Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis entre vous de l’affection et de la bonté. Il y a en cela des preuves pour des gens qui réfléchissent. » [Sourate Ar-Rum 30:21]

Al-Hafidh Ibn Kathir - rahimahullah - a dit dans l'explication des termes muwaddah et rahmah contenus dans le susdit verset :

« Al-muwaddah signifie l'amour et l'affection et ar-rahmah signifie la compassion et la pitié - puisqu'un homme prend une femme en raison de son amour pour elle, ou par compassion et pitié pour elle; en lui donnant un enfant de lui … » [4]

Et la position unique que la femme du prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) Khadija - radiyallahu 'anha - a pris, avait un effet énorme dans le calme et l'assurance du messager d'Allah (sallallahu 'alayhi wa sallam), lorsque l'ange Jibril ('alayhi salam) est venu pour la première fois à la caverne de Hira. Ainsi le prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) est revenu vers Khadija (radiyallahu 'anha) avec la première Révélation et son de cœur battait très fort et il tremblait, et il lui a dit : « Couvrez-moi! Couvrez-moi! »

Donc elle l'a couvert jusqu’à ce que sa crainte disparaisse, après quoi il a raconté à Khadija (radiyallahu 'anha) tout ce qui était arrivé et dit : « Je crains que quelque chose ne m'arrive. »

Donc elle lui a dit : « Jamais! Par Allah! Allah ne te déshonorera jamais. Tu maintiens les liens de parenté, tu aides le pauvre et l’orphelin, tu sers généreusement tes invités et aide ceux qui ont été affligés par un désastre. » [5]

Et n'oubliez pas 'Aisha (radiyallahu 'anha) et son grand effet. Au point que même les grands Compagnons prenait d'elle la science du Hadith et beaucoup de Sahabiyat ont appris d'elle les diverses règles se rapportant aux questions des femmes.

Et je n'ai aucun doute que ma mère - qu'Allah lui fasse miséricorde- a eu un effet énorme sur moi, en m’encourageant à étudier; et elle m'y a aidé. Qu’Allah augmente énormément sa récompense et la récompense de la meilleure des récompenses pour ce qu'elle a fait pour moi.

Et il n'y a aucun doute aussi, que la maison dans laquelle il y a bonté, douceur, amour et soin, avec l’éducation islamique correcte (tarbiya) affectera énormément l'homme. Donc il sera – si Allah le veut - couronné de succès dans ses affaires et dans toute chose – la recherche de la science, le commerce, le travail, ou autre que cela. Donc c'est à Allah Seul que je demande d'accorder le succès et de nous guider tous vers ce qu’Il aime et ce dont Il est satisfait. Et que les Prières et la Paix d'Allah soient sur notre prophète Muhammad et sur sa Famille, ses Compagnons et ses disciples.

[1] Cet article est une réponse à une question particulière concernant la position et le statut de la femme musulmane et a été pris de Majmu'ul Fatawa wa Maqalatil Mutanawi`a (3/348-350).

[2] Hassan : Rapporté par Malik dans Al-Muwatta (2/899) et Al-Hakim (1/93), d'après Ibn 'Abbas (radiyallahu 'anhu). Il a été authentifié par Shaykh Al-Albani dans As-Sahiha (No 1871).

[3] Rapporté par Al-Bukhari (No 5971) et Muslim (7/2), d’après Abû Hurayra (radiyallahu 'anhu).

[4] Tafsir Qur`anil A'dhim (3/439) d’Al-Hafidh ibn Kathir.

[5] Rapporté par Al-Bukhari (1/22) et Muslim (1/139), dans la longue narration de 'Aisha (radiyallahu 'anha).

SoubhanakAllahouma wa bihamdik, achadu anlà illaha illa ant, astaghfirouka wa atoubou ilayk .

Qu' Allah swt réveille tous les musulmans de leur sommeil et nous sauves avant qu’il ne soit ‎trop tard. Amine

A salamou Alaykoum Wa Rahmatoullah Wa Barakatouh A vous Que la Paix d`Allah Le ‎Tout Miséricordieux le tres Miséricordieux vous suive Amine ‎
Selia
As Salam alaykoum


La situation idéale reste quand même celle de la femme qui reste au foyer à élever ses enfants, avancer dans son Deen, et s'occuper d'elle : ) Mais pour cela il lui faut un homme avec un grand H c'est à dire qui prend ses responsabilités en tant qu'époux et Musulman qui craint ALLAH Sobhano.


Baraka Allahou fik pour le rappel : )


Wa Salam alaykoum

iqkra
salamou3èlèykoum wrtl Allah wbrt

Serait-il interdit à la femme musulmane de travailler ?

Question :


L'islam permet-il à la femme d'exercer une activité rémunérée ?



Réponse :



Le Prophète a dit aux hommes qu'ils devaient maîtriser leur regard lorsqu'ils se trouvent sur la voie publique
(rapporté par Al-Bukhârî, n° 5875)

et Ibn Hajar a rappelé que le Prophète avait dit ceci parce qu'il n'est pas interdit aux musulmanes de sortir de chez elles
(Fat'h ul-bârî, tome 11 p. 16).

Cependant, le Prophète a aussi dit : "La femme est une bergère à propos du domicile conjugal et des enfants, et sera questionnée à ce sujet"
(rapporté par Al-Bukhârî, n° 2416, et Muslim, n° 1829),

ce qui montre que la femme a des priorités comme celle de s'occuper de sa maison et de ses enfants.
De même, le Prophète a dit : "N'empêchez pas les femmes de [se rendre] dans les mosquées. Leur domicile est cependant meilleur pour elles"
(rapporté par Aboû Dâoûd, n° 567).
Cet autre Hadîth montre de même qu'on ne doit pas interdire à la femme de sortir de chez elle (et que ce n'est donc pas interdit), mais que la femme doit se souvenir qu'elle a des priorités.



On ne peut donc être d'accord avec ceux qui, parmi les musulmans, vont jusqu'à interdire à la femme de sortir de chez elle et a fortiori d'avoir une quelconque activité rémunérée. Al-Qardhâwî rappelle qu'en l'absence de texte et de principe, la règle première est la permission (al-ibâha).

D'un autre côté, cependant, on ne peut non plus avoir comme conception de la vie celle qui fait des humains des êtres destinés avant tout à produire des biens et des services rémunérés, l'objectif étant qu'ils puissent avoir le plus possible de revenus pour pouvoir consommer le plus possible, ce qu'on consomme fût-il purement inutile, voire même nuisible à la santé mentale, spirituelle ou sociale. Cette conception de la vie n'est pas celle des musulmanes et des musulmans. Et la musulmane ne devrait pas avoir comme vision des choses qu'elle ne pourra s'épanouir que par l'obtention d'un travail rémunéré. La priorité que l'islam offre à la femme est celle de construire un foyer source de bonheur et vivre pleinement sa maternité, choyée par son mari. Il faut certes travailler pour vivre – tout dans les sources de l'islam le montre –, mais les musulmanes et les musulmans ne peuvent considérer que le bonheur de la vie réside dans l'augmentation constante du revenu. Il y a, en l'humain, dans la famille, dans la société, quelque chose qui est à bâtir pour plus de sérénité et de bonheur.



Différentes situations :



Au vu de ce qui précède, il apparaît qu'il n'est en soi pas interdit à la femme d'avoir une activité rémunérée hors de chez elle, mais qu'elle ne doit pas oublier ses priorités. Différentes situations se présentent donc par rapport au travail de la femme :


Dans le cas où la femme est veuve, ne bénéficie d'aucun revenu, d'aucune famille, et se trouve dans un pays où le système de la Sécurité sociale est inexistant, il devient même nécessaire (wâjib) qu'elle travaille.

De même, il est des métiers qui, dans les pays musulmans, doivent être réservés aux femmes – comme celui de gynécologue, d'infirmière pour femmes, etc. – et dont il est nécessaire que des femmes les pratiquent. Déjà, dans les siècles précédents, un juriste tel que Ash-Shâmi parlait du métier de sage-femme, dont il disait qu'il est obligatoire, au niveau de toute la société, qu'il soit connu et pratiqué par un nombre de femmes suffisant pour couvrir les besoins de cette société (min furûdh al-kifâya).

Dans les cas où le mari travaille avec pleine volonté mais que ses revenus sont réellement très faibles par rapport au coût de ce qui constitue les nécessités de la vie, la femme peut aussi (matlûb) travailler pour apporter une contribution aux dépenses du foyer. Il ne faut pas oublier que les sources de l'islam, n'ayant pas voulu que le couple devienne un modèle d'individualisme, demandent que la décision de travailler pour la femme soit prise en concertation (idhn) avec le mari.

Dans tous les cas où la pratique du travail pour la femme ne respecte pas les principes de l'islam, ce travail est à éviter (lâ yajûz). De même, si la pratique de ce travail se fait aux dépens de ce qui constitue la priorité pour la femme, ce travail est aussi à éviter (lâ yajûz). Nous allons revenir sur ces deux points plus bas.

Enfin, dans les autres cas, quand le travail n'est pas nécessaire, mais que d'un autre côté sa pratique ne trahit ni la priorité dévolue à la femme ni les principes qu'hommes et femmes doivent respecter dans la vie quotidienne, le travail de la femme reste simplement permis (mubâh).


Ne pas oublier les principes formulés pour les occasions de présence d'homme et de femmes



On doit offrir à une femme un travail qui est en adéquation avec sa nature. Comment envoyer une femme travailler dans les mines ? D'autres exemples existent que l'on peut facilement comprendre. Ceci est dû au fait que l'islam tient à préserver les particularités des natures masculine et féminine, afin d'éviter la naissance d'une sorte de nature androgyne.

De même, se basant sur des principes islamiques bien connus, Al-Qardhâwî rappelle que la musulmane ne peut pas être secrétaire personnelle d'un directeur, ni serveuse dans un bar, etc. D'autres principes sont également à respecter par les hommes et les femmes lors de la présence des deux sexes.


Ne pas oublier ses priorités



Tout en respectant les principes de l'islam, la musulmane doit se souvenir qu'il est hors de question qu'elle pratique son travail d'une façon où cela se fait aux dépens de ce qui constitue la priorité pour elle, c'est-à-dire la gestion du foyer et l'affection et la présence donnée aux enfants (très jeunes enfants particulièrement). La solution pour la femme serait que la société tienne compte de ce rôle primordial de la femme et lui offre les possibilités de travailler à mi-temps et de disposer de congés de maternité conséquents. Les pays musulmans, nourris aux sources des références de l'islam, devraient agir pour offrir aux femmes la possibilité de travailler dans le cadre voulu tout en s'épanouissant au niveau de sa famille et de ses enfants.



Formation professionnelle



Dans le monde d'aujourd'hui il est devenu difficile de travailler sans avoir au préalable suivi une formation. Le juriste Ash-Shâmi écrivait : "Le père peut envoyer sa fille apprendre un métier auprès d'une femme, comme par exemple la couture". Aujourd'hui, les formations se font rarement de façon individuelle auprès d'une personne. L'heure est aux institutions, à la formation de groupe. Rien n'empêche les musulmanes de suivre ces formations à l'école, à l'université etc., pourvu que, encore une fois, elle fasse tout ce qui est en son possible pour respecter les principes de l'islam en la matière.


Mes sources pour cet article : Fiqh as-sunna, As-Sayyid Sâbiq, tome 2 pp. 469 – Markaz al-mar'a, Al-Qardhâwî, pp. 105-117 – Tahrîr ul-mar'a fî 'asr ir-rissâla, Abû Chuqqa, tome 2 pp. 341-373.



Wallâhu A'lam (Allah swt sait mieux)
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